Cosette
ATTENTION, CETTE HISTOIRE EST VRAIE, CETTE FILLETTE A ETE DETRUITE PAR CET ACCIDENT, MALHEUREUSEMENT AUCUNE SUITE N'A PU ETRE DONNEE A CETTE HISTOIRE,

LES FAITS ETANT ANCIENS MAIS PEUT ETRE QU'AVEC CE TEMOIGNAGE DES PARENTS AGIRONT

La fillette en question ne devait pas avoir plus de dix ou onze ans à l’époque des faits. Elle avait un frère et une sœur et plein d’amis du même âge. Cette histoire se passe aux environs des mois de Septembre Octobre, lorsque la Vézère est marron de boue récoltée sur son chemin, mais il fait beau et les enfants sont décidés à jouer à cache-cache au camping. D’un côté il y a la Vézère mais de l’autre côté, un joli petit bois regorgeant de cachettes possible.


Malgré les vives recommandations des parents de n’adresser la parole qu’a des gens de connaissance, un homme arrivé de je ne sais où sur un vélo se présente aux enfants. Il se propose alors de jouer avec eux. Plus de la moitié d’entre eux ne veulent pas qu’il se joigne à eux mais l’autre veut. Après avoir manigancer la chose, l’homme se retrouve à compter pendant que les enfants vont se cacher. La jeune fille n’a rien trouvé de mieux que de se camoufler derrière un baromètre. La cachette est bonne et dès qu’il lui sera possible, elle sortira pour aller taper au lieu du comptage et arrêter ainsi la partie pour elle.

Par malchance, l’homme avait jeté son dévolu sur elle et avait sûrement suivi du regard son trajet car il la trouva plus vite que prévu. Il ne lui dit pas qu’il l’avait trouvé. Non. Il la coinça comme il put, l’empêchant par là même de faire un seul mouvement. La fillette étais terrassée par la peur, aucun son ne pouvait sortir de sa bouche.
La fillette se demandait où étaient ses amis, pourquoi personne ne venait à son secours. Quelqu’un devait bien voir ce qui se passait.

L’homme commença à la tripoter alors qu’elle n’avait aucune forme. Même
pas les prémices d’une poussée de seins. Il la tripotait et lui faisait mal. Il essayait de l’embrasser, elle essayait bien de tourner la tête à droite, à gauche pour éviter une bise qu’elle ne voulait pas. L’homme réussi à lui bloquer la tête et à l’embrasser de force en mettant dans sa bouche d’enfant une langue baveuse.

La jeune fille essayait bien de sortir de cet étau et enfer, et se disait que si la prise se relâchait, elle sauterait dans cette Vézère si sale. Valait mieux tenter n’importe quoi plutôt que de continuer à vive ça.

La prise ne se relâchait pas, la fillette pleurait et l’homme continua à explorer ce corps d’enfant. Il passa sa grosse main dans la culotte de la fillette et chercha en lui faisant mal. Il chercha et trouva ce qu’il voulait et la viola avec sa main. Il semblait y prendre plaisir et l’enfant mourait en même temps. La fillette était effondrée. Personne n’arrivait. Elle n’avait aucune issue. Qu’allait-il encore lui arriver. Elle ne pouvait pas crier et se sortir de ce calvaire. Personne ne venait. La rivière l appelait, mais elle ne pouvait y aller.
Elle était scellée au baromètre et à cet homme. L homme commença à avancer une main vers son pantalon quand deux enfants arrivèrent ce qui le fit fuir immédiatement.
Quand tous les enfants furent réunis, ils prirent la fillette avec eux et, direction la maison. La petite sœur était très fière de raconter aux autres tout ce qui s’était passé ? Elle n’en avait pas perdu une miette et il semblait même quelle en avait pris elle aussi un certain plaisir.
De retour à la maison, la fillette en pleure fonça dans la salle d ‘eau où elle fit couler un bain d’eau bouillante dans lequel elle se mit tout habillé et commença à se laver la bouche et la langue avec sa brosse à dents. Il fallait faire partir toute cette saleté. Il ne devait rien en rester.
S mère écoutant les autres gamins fit venir le père. Lui expliqua la chose et voulait prévenir les gendarmes. Pour le père, hors de question, il sortit et dit qu’il allait régler la chose. La fillette avait beau se laver la bouche avec un gant, sa mère lui ayant ôté la brosse pour éviter qu’elle ne se fasse mal, se laver et relaver le corps. Les mais de l homme semblait encore la parcourir. Je ne sais combien de temps ce bain dura, je ne sais comment la fillette retrouva le sommeil mais une chose est sûre, le père, personne assez connue et exerçant un certain métier, ne pouvait pas ou ne voulait pas se permettre qu’une situation comme celle-là vienne gâcher sa vie, n’avait rien fait de particulier. Il avait été trouvé l’homme et ce qui se dit ne fut jamais révélé. L’homme continua à circuler librement. Par la suite, j'appris que cet homme avait été en maison de redressement pour viol, j’appris également que ce même homme continua à faire ses attouchements qui pour des enfants de 10 ans sont aussi graves que des viols. J’appris qu’il fut même engagé comme home à tout faire dans un lycée de jeune fille. La fillette a bien sur informé la directrice de sa mésaventure car elle ne voulait pas que d’autres subissent la même chose. Malheureusement des fois le temps joue contre les victimes. Elle avait laissée passer les délais pour accuser mais ce n’est pas sûr, vu la date ancienne des faits, aux environs de 1964, il aurait pu être fait ou tenté quelque chose.