Cosette
Cri de haine

Il est un fait indéniable, c’est que j’en veux tous ses voleurs de vie des enfants. A tous ceux qui leur volent ses moments si précieux de bonheur pour les plonger trop tôt dans la dure réalité des adultes.

J’en veux à mes parents d’avoir mis si longtemps à divorcer et de m’avoir mêlé
à leurs histoires de cul. Un enfant n’a pas à en connaître les rancunes des uns et des autres. Il est assez malheureux dans son coin de ne plus savoir à qui va aller son amour. D’avoir le doute sur l’amour que lui porte ses proches entrant au milieu d’une certaine polémique.

Je hais les gens qui ne peuvent laver leurs linges sales qu’en public, mêlant ainsi tout le monde à leur mal-être. Je hais ses violeurs et individus, qui s’attribuent le droit de vie des autres et surtout de celle des enfants.

Je hais la loi qui fait que l’on ne peut les attaquer que dans un laps de temps bien précis. Une vie gâchée ne semble rien à leurs yeux, pacotille noyée dans un rayon de grande surface.

Il est un fait que j’ai déjà parlé des enfants du divorce mais pas encore de ceux violés dans leur enfance. Il est vrai que je n’en connais pas d’autre que celle dont l’histoire va suivre.

Pour une enfant de 10 ans au moins, pour n’importe quelle fillette ou même femme, un viol vous pourri la vie, vous traumatise à vie. Vous avez beau parler pour l’exorciser, il n’en reste pas moins des séquelles. Indélébiles qui vous pourrissent la vie. Vous avez peur du monde, vous n’avez plus confiance en lui. Vous êtes plus sensibles à certaines situations.

Comment peut-on laisser des gens tuer la vie des enfants. La fillette a grandi, la fillette est devenue une femme et une mère mais attention, personne ne devra toucher à son enfant. Personne ne devra lui faire de mal, que ce soit en parole comme physiquement.

L’homme vit toujours, attention jamais il ne devra se trouver devant son chemin car les traces d’une enfance volée sont toujours là. À ceux qui liront cette histoire, si votre enfant vous a raconté une histoire de cet ordre, croyez là, essayez de savoir et attaquez en justice. Ne laissons pas ses individus en liberté se croyant le droit de tout faire à un enfant. Pour des faits de cet ordre, prescription, il ne devrait y avoir. Personne n’a le droit de gâcher la vie de nos enfants. Nous leur apprenons tant bien que mal le respect, respectons les. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est beaucoup de chose. Nous les faisons dans l’amour, gardons les dans l’amour.

Je sais que beaucoup d’entre nous n’avons pas eu une vie dont chaque moment est joie. Je ne pense pas d’ailleurs que ça puisse exister. J’ai du mal à imaginer des parents battant un enfant, lui faire du mal. S’ils n ‘en voulaient pas, nous sommes dans un pays de liberté où existe l’I.V.G.. Nous n’avons pas le droit de leur faire subir un mal être. Si nous ne nous sentons pas à la hauteur de leur éducation, il existe des institutions pour nous aider. Ne leur faisons pas de mal, la vie leur en fera assez comme ça. Ne nous montrons pas non plus égoiste lors d’un divorce, l’enfant doit avant tout avoir la parole. Trop d’hommes à l’heure actuelle sont encore déchus de leurs droits alors que ce sont peut-être ceux-là mêmes qui ont le plus fait pour leurs enfants quand le couple allait encore bien. Laissons de côté le qu’en dira-t-on et pensons en premier à leur bonheur. Nous avons déjà fait un bout de vie, eux commencent la leur. Ne les jetons pas tout de suite dans le négatif, apprenons leur, que même si deux êtres ne s’aiment plus, ils peuvent être intelligents face à un rupture. Ne leur donnons pas trop tôt des armes pour nous haire trop vite. Le temps arrivera assez tôt.

Croyons les quand ils racontent quelque chose, si après enquête, il s’avère qu’ils ont menti, apprenons leur la valeur des mots. Essayons de rendre humain ce monde qui part à la dérive et où les sentiments n’ont plus la valeur de ce qu’ils étaient. Arrêtons de nous jeter les uns les autres comme si rien n’avait existé. Arrêtons de vivre en pure égoïste et regardons si notre voisin n’a pas besoin d’un coup de main. Essayons de lui envoyer une bouée plutôt que de le regarder s’enfoncer.

J’ai mal et je n’en peux plus. Je vois trop de gens qui souffrent du mal d’aimer et qui se détruisent. Nous ne sommes pas si longtemps sur terre, profitons de ce sursis pour bien vivre et laissons un bon souvenir. Arrêtons de nous blesser, de nous tuer pour des idées qui souvent sont pacotilles. Respectons nous et nous serons respectés. Préservons nos enfants, préservons notre famille et nos amis. Préservons notre terre. Je ne suis pas vieille ni aigrie, mais j’en ai marre de voire tout autour de moi des gens qui se battent contre des moulins à vent, contre de mauvaises interprétations, contre des non-dits qui font mal

J’en ai mal de voir continuer à souffrir des enfants du divorce, des femmes qui font tout pour que tout marche bien mais que le mari ne respecte plus car seule leur mère est une sainte, mal de voir ses filles détruites par un viol, mal de voir ses garçons détruit par des cons, mal de voir ses pères déchus de leurs droits alors qu’ils étaient considérés comme bon père de famille.


Quand j’entends que l’éducation civique ne sera remise à l’étude qu’en seconde, je me demande de qui se moque-t-on. Cette éducation doit commencer dès le CP. Il faut que nos chers chérubins soient mis au courant tout de suite. C’est cette éducation qui fera leur vie plus tard. Combien d’entre eux n’iront pas jusqu’en seconde. C’est scandaleux.

Arrêtons de porter aux nus des individus qui font de beaux discours, qui offrent une salle de théâtre ou autre à leur communauté mais qui en contrepartie vont faire des parties de cache-cache avec des enfants, un peu d’argent à la famille, une nouvelle voiture, une place de dirigeant dans une entreprise, et, hop, en toute impunité, la vie continue.

Stop à toute cette merde, essayons d’être humain au vingtième siècle. Nous ne sommes soi-disant pas des barbares. Arrêtons d’être arriviste, ça ne sert à rien et nous sommes méprisables. Arrêtons d’être con, notre vie est bien trop courte.

Je ne sais si mes phrases plairont ou déplairont mais je m’en moque. J’ai pris l’habitude de dire ce que je pense, la vérité blesse des fois, mais je vous jure ça fait du bien. L’hypocrisie est méprisable et si quelqu’un fait mauvaise route, je remets en place les barrières avant qu’il ne soit trop tard. Arrêtons de nous raconter des histoires qui ne mènent à rien et qui polluent le cerveau et la vie de notre entourage. Sachons nous assoire sur notre fierté. Ca ne fait pas mal, ou si peu car nous sommes seuls à en souffrir.

Sachons tendre la main. Redevenons humains, ne devenons pas robots dans ce monde stressant et spidant. Calmons nous et vivons.
Tant pis pour ceux que je fais souffrir dans ses phrases, c’est qu’ils n’ont rien compris à ce que je veux dire. Rendons les yeux aux aveugles, eux seuls savent peut-être à l’heure actuelle lire en nous car leur image n’est pas détériorée par du trompe l’œil ou trompe couillon. Soyons brute de pomme et n’ayons pas peur des sentiments. Il n’y a rien d’honteux à aimer quelqu’un, ce n’est pas une maladie, c’e n’est pas un mauvais virus, profitons de l’instant présent, ne nous laissons pas envahir par des sentiments invisibles que nous avons enjolivé dans notre tête, des sentiments utopiques. Nos amis et amies sont des amis, amies, ne leur attribuons pas des sentiments d’amour car nous ne sommes en manque. Nous ne ferions que nous enfermer dans un mensonge qui une fois éclaté fait mal. Vivons dans la réalité. Préservons nous certes de ses amitiés éphemaires qui viennent vous pomper votre énergie et vous déposséder .